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Envie d’en savoir plus sur l’économie Sociale ?

– NOUVEAU ! –

L’avenir du travail et la crise de l’emploi sont des questions qui font l’objet de nombreuses préoccupations dans notre société. Il est avant toute chose important de reconnaitre que ces questions sont essentielles au développement d’une société plus équilibrée et plus inclusive.

A travers cet ouvrage, vous vous poserez des questions pertinentes afin de mener une réflexion approfondie sur l’essence même de la « valeur travail » ainsi que sur la place du travailleur dans l’entreprise.

Celui-ci examinera également les différentes facettes de ces interrogations, telles que la responsabilité du management, la propriété de la création économique, la transmission aux salariés,…

Cet ouvrage aura ainsi pour ambition d’évoquer des alternatives crédibles au capitalisme mondialisé, et soucieuses de rendre sa place au facteur humain.

Des ondes longues infléchissent le cours de l’histoire sociale. Sans doute au rythme des oscillations de l’économie… Le constat avait déjà conduit Marx à  cet avertissement : « Ceux qui ignorent l’Histoire sont condamnés à la revivre ».

Marcel Bartholomi a compris ce message depuis longtemps. Il revisite ici un moment déterminant d’un passé verviétois mal connu. La première reconnaissance du fait syndical en Belgique. Ce 30 octobre 1906, sept représentants dont Jean Roggeman et sept représentants patronaux dont Peltzer et Zurstassen signaient, la première convention collective régionale.

Cette première CCT impliqua plus de 15.000 travailleurs et permit une reprise du travail « aux mêmes conditions, (de) salaires et (de) règlements d’atelier ». Si elle reconnaissait,  la légitimité du patron, elle reconnaissait surtout la liberté d’association pour les travailleurs donnant au syndicalisme une reconnaissance conventionnelle. Elle résonne toujours dans le climat antisyndical actuel.

Aujourd’hui, les employeurs ont davantage l’oreille du pouvoir. Ils lui imposent ou orientent le cadre de l’organisation de l’économie : la politique des salaires, la flexibilité, etc. Les syndicats qui y résistent font régulièrement l’objet de tentatives visant à leur faire perdre leur légitimité. Parallèlement, les institutions de la concertation sociale qui irriguent depuis la seconde guerre mondiale la démocratie sur le terrain économique et social semblent lentement vidées de leur substance.

Vendu au prix de 4€ ( prix spécial à partir de 50 exemplaires ).

Quelle est la place du travail dans notre société ? Qui possède le travail ? Pourquoi les pertes d’emploi se succèdent-elles ? Pourquoi l’Etat peine-t-il à préserver les travailleurs contre le chômage ? Ces interrogations, nous nous les posons, sans savoir y répondre.

Le système dominant nous enseigne que les deux facteurs de production sont le capital et le travail. Il nous inculque également que le capital domine le travail. Ainsi, il permet aux capitalistes, en toute légitimité, de dérober aux ouvriers le fruit de leur travail.

Afin de lutter contre ce système dominant, nous devons nous munir d’outils pour mener notre propre bataille. Pourquoi, par exemple, la valeur travail ne deviendrait-elle pas un facteur de propriété ? Pourquoi  le capital  humain ne deviendrait-il pas un contre-pouvoir ? Pourquoi ne repenserions-nous pas la société anonyme ?

Dans cet ouvrage, toutes ces alternatives sont développées. Il nous donne tous les repères nécessaires pour mener notre bataille du travail.

Vendu au prix de 10€ ( prix spécial à partir de 20 exemplaires ).

Qui possède le droit et les moyens d’investir ou de désinvestir ? Qui a le droit d’ouvrir ou de fermer une entreprise ? Qui a le pouvoir de vendre, de rationaliser, de licencier,… ? Où se situent les pouvoirs de décision ? Les entreprises ferment les unes après les autres, les pertes d’emplois se succèdent, voici des questions qui doivent nous venir à l’esprit et auxquelles nous devons tenter de répondre.

Ces interrogations, André Renard se les posait déjà en son temps. Leader syndical et homme d’action, Renard a mené son combat afin d’instaurer « la démocratie par l’action des travailleurs » dans le domaine économique. Ainsi, en 1953, Renard évoquait sa lutte en proclamant : « Devant un capitalisme qui aujourd’hui, se contente de profiter de la conjoncture, sans s’adapter à l’évolution mondiale, devant un Etat impuissant à préserver les travailleurs contre le chômage, nous revendiquons des responsabilités dans la gestion de l’appareil économique, que ce soit au niveau de l’économie nationale ou au niveau de l’entreprise ».

Ce document, d’une centaine de pages, évoque des propos qui font toujours échos à notre époque. Plusieurs initiatives refont jour : la proposition de loi portant sur l’ajout d’un droit d’alerte et d’expertise aux compétences des délégués du personnel dans les entreprises, la proposition de loi en vue de préserver l’activité économique et l’emploi dans le cadre de la fermeture d’une entreprise viable. Le projet de décret « nationalisation » vise l’expropriation d’entreprises pour cause d’utilité publique,…

Vendu au prix de 8€ ( prix spécial à partir de 10 exemplaires ).

Une brochure qui traite de la stratégie du mouvement syndical  confronté à la crise et à la problématique du redéploiement industriel de notre région wallonne.

L’ONU a déclaré l’année 2012, année des coopératives.

Avec nos partenaires européens, à cette occasion nous avons décidé d’organiser certaines activités et d’éditer une brochure qui traite de la stratégie économique du mouvement syndical confronté à la crise et à la problématique du redéploiement industriel de notre région wallonne. Ce document, d’une septantaine de pages, explique la place qu’occupe le travailleur dans l’entreprise, sous pression du capital, et le rôle préventif que doivent assumer les délégués fraîchement élus aux élections sociales de mai 2012.

Les matières sont présentées sous forme de mode d’emploi pour les délégués dans une approche syndicale pour la défense de l’emploi dans l’entreprise, en utilisant par exemple : la directive Renault, les cellules de reconversion dans les cas de licenciements collectifs, les CCT pour l’emploi, et bien d’autres outils qui font partie de la stratégie de « Contrôle ouvrier » de la FGTB …

Disponible sur demande.

A l’heure où la course au profit et l’enrichissement personnel de quelques-uns entraînent le chômage et la précarité pour un grand nombre, certains luttent pour remettre l’humain prioritaire sur l’économie. C’est dans cette perspective que, depuis presque 20 ans maintenant, le groupe FOSODER relance des coopératives de production dans la région de Verviers. Coopératives, le mot est lâché. Car si à l’heure actuelle le terme d’économie sociale est plus à la mode, les origines et l’idéal de base restent ceux énoncés par les pré-socialistes comme Fourier et Saint-Simon.

Ce livre permet ainsi de suivre l’évolution de la concrétisation de l’idée coopérative dans la région de Verviers, des pionniers du 19ème siècle aux travailleurs d’aujourd’hui en passant par l’époque des « forteresses du socialisme » de l’Union Européenne.

Vendu au prix de 10€ ( prix spécial à partir de 10 exemplaires ).

La société verviétoise SOCOMEF, pour « Solidarité Coopérative des Métallurgistes Franchimontois », a fêté ses trente ans d’existence en septembre 2011 et a mis en chantier un ouvrage collectif mariant quelques belles pages de l’histoire du Franchimont de jadis, dont elle perpétue le nom, avec le récit de ses trois décennies.

Le président du Comité de gestion de SOCOMEF, Marcel BARTHOLOMI, ouvre ce volume en jetant le regard engagé du syndicaliste sur l’histoire de la coopérative. Suit un rappel des origines et de l’étendue de ce qui était jadis le marquisat du Franchimont sous la plume de Freddy JORIS, qui cède rapidement le relais à son collègue theutois, Paul BERTHOLET. Celui-ci livre ici, en 90 pages, le plat de résistance de l’ensemble, avec la première synthèse de l’histoire de la métallurgie au pays de Franchimont.

Viennent ensuite les belles figures de démocrates franchimontois, dont les fondateurs de SOCOMEF furent, en quelque sorte, des héritiers spirituels : les révolutionnaires de 1789, d’abord, dépeints par le professeur Philippe RAXHON, puis Félix DELHASSE, l’ami spadois de PROUDHON, raconté par Francis SARTORIUS. Le livre se termine, comme il se doit, par l’histoire inédite de SOCOMEF depuis sa création, sous la plume de Jean-François  POTELLE.

Vendu au prix de 8€ ( prix spécial à partir de 10 exemplaires ).

Cet ouvrage commémore le 125e anniversaire des Métallurgistes FGTB de Verviers et est le résultat de contributions de plusieurs auteurs : Marcel BARTHOLOMI – Secrétaire Régional des Métallurgistes FGTB de Verviers -, Julien DOHET, Freddy JORIS et Jean-François POTELLE – tous trois historiens -, Benoît WILLEMS – Administrateur de l’asbl IDEES – et Jean-Claude VANDERMEEREN – Secrétaire Général FGTB Wallonne -, clôturant l’ouvrage.

Ces 159 pages permettent de retracer l’histoire des luttes syndicales menées par les Métallurgistes verviétois et de dresser un portrait de l’alternative économique qui s’est notamment concrétisée à Verviers : les coopératives. En somme, dans cet ouvrage, le passé se joint au présent pour construire une vision de l’avenir.

Vendu au prix de 10€ ( prix spécial à partir de 10 exemplaires ).

2ème édition mise à jour et complétée Auteur : Bartholomi Marcel – 229 pages Dépôt légal : D/2002/8920/1 Editeur : I.D.E.E.S. asbl – Pont aux Lions 23 – 4800 Verviers

En revisitant la biographie et la vie trop courte de Jean Roggeman, Marcel Bartholomi fait assurément œuvre utile de triple façon, d’abord en apportant sa contribution à la perpétuation du souvenir de cet illustre pionner des conquêtes sociales du siècle dernier, ensuite en honorant tout particulièrement une des figures de proue les plus marquantes du combat socialiste pour la justice sociale, l’égalité des droits et des libertés individuelles, enfin, en donnant un exemple à suivre aujourd’hui encore à tous les progressistes de notre région et de Dison en particulier, l’engagement résolu et le plus souvent couronné de succès d’un responsable syndical et socialiste de premier plan.

Dans un style clair, ce livre s’adresse à toutes celles et à tous ceux qui se posent des questions sur les moyens dont disposent les travailleurs pour accéder à la démocratie économique et donc de contrôler leur entreprise. Logiquement, ce livre s’ouvre sur l’importante semaine d’étude de Morlanwelz de 1921. Il se prolonge sur les différentes phases de la lutte qui débouchera sur l’instauration des Conseils d’Entreprise en 1948. L’ouvrage intègre également les problématiques posées par le phénomène de la mondialisation. Il ne s’agit pourtant pas d’un livre d’histoire, mais plutôt d’un texte militant qui au travers d’exemples précis et l’analyse de textes fondamentaux, tant doctrinaux que législatifs, explique la situation dans laquelle se trouve les travailleurs aujourd’hui et propose des pistes de réflexion pour l’élaboration d’un véritable syndicalisme européen, voire mondial, et de la mise en place de Conseils d’Entreprises transnationaux.

Vendu au prix de 10€ ( prix spécial à partir de 10 exemplaires ).

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